Maison au bord de la voie ferrée, Hopper
- Huile sur toile de lin
- 100% peint à la main
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| Auteur : | Edward Hopper |
|---|---|
| Titre en anglais : | House by the Railroad |
| Type : | Tableau |
| Technique : | Huile |
| Support : | Toile |
| Année : | 1925 |
| Localisation : | Musée MoMA, New York. |
Garantie 30 jours pour retourner.
La structure de la maison est esquissée avec un minimum de peinture noire, ce que l'on remarque dans les colonnes et les fenêtres ombragées à droite.
La maison elle-même est peinte de l'obscurité vers la lumière, Hopper a projeté la structure à l'aide de lignes diagonales et a créé un contraste de lumière remarquable.
Le côté gauche de la maison, frappé par la lumière du soleil, est peint avec des couleurs claires et opaques. Sur cette base, Hopper a défini les formes avec des lignes bleues.
La voie ferrée est elle aussi réalisée en allant de l’obscurité à la lumière, les couleurs vives : orangés et ocres, utilisés pour les traverses et le rail rouillé, ont été peints avec des touches courtes et dans des directions aléatoires.
Bien que le ciel pâle apparaisse comme fond de l'œuvre, il semble qu'une fois la maison peinte, Hopper ait repassé les bords de celle-ci, ce qui serait les dernières retouches du tableau.
Dans les compositions de l'artiste, il est très courant de trouver un élément horizontal séparateur, qui isole brutalement l'observateur du monde représenté dans la peinture. Dans ce cas, il utilise une voie ferrée à cette fin.
Ce faisant, il parvient, selon les connaisseurs, à rendre l'œuvre impénétrable, établissant une ligne de séparation qui accentue encore plus la solitude et la mélancolie.
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DONNÉES DE L’ARTISTE
Edward Hopper
| Nom complet: | Edward Hopper. |
|---|---|
| Naissance: | 1882, New York. |
| Mort: | 1967, New York. |
| Style: | Réalisme Américain. |
Edward Hopper était un peintre américain de la période moderniste, connu pour capturer comme personne la solitude et le calme suspendu de la vie urbaine. Maître du Réalisme américain, il transforma des scènes quotidiennes —une station-service vide, un café éclairé à l’aube, une fenêtre ouverte sur le silence— en réflexions sur l’existence moderne. Son œuvre ne montre pas seulement des bâtiments ou des figures : elle révèle l’espace entre eux, cet instant où le temps semble s’arrêter et où l’âme regarde vers l’intérieur.
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