Edward Hopper

Dans les compositions de l'artiste, il est très courant de trouver un élément horizontal séparateur, qui isole brutalement l'observateur du monde représenté dans la peinture. Dans ce cas, il utilise une voie ferrée à cette fin.

Ce faisant, il parvient, selon les connaisseurs, à rendre l'œuvre impénétrable, établissant une ligne de séparation qui accentue encore plus la solitude et la mélancolie.

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L’œuvre montre une femme assise sur le lit de la chambre de son hôtel, évoquant la solitude et la froideur du matin, une inspiration très fréquente chez l’artiste.

L’œuvre est basée sur la vue depuis son propre atelier d’été dans la ville du Massachusetts, c’est là qu’il a perfectionné sa technique pour peindre les effets lumineux. L’intérêt pour ce type de contrastes l’a accompagné depuis le début de sa carrière artistique.

Montre un panorama urbain dévasté, composé d’une construction basse aux tons vifs : vert et rouge. La ville abandonnée, le paysage statique et les couleurs rappellent la peinture Essence, et à la série des « voies ferrées ». Peu d’artistes comme Hopper ornent avec de généreux détails réalistes tout en consolidant un art d’un caractère aussi paisible.

Œuvre à l’ aquarelle et crayon intitulée Phare à Deux Lumières, peinte par Edward Hopper en 1927. La reproduction que nous proposons en vente es à l'huile sur toile.

Elle appartient à la première période artistique de l’artiste, celle-ci en particulier est un exercice de perspective et de composition géométrique. Les techniques d’éclairage, de coloration et de disposition des éléments ont été fortement développées tout au long de sa carrière, comme en témoignent les œuvres : Coucher de soleil à Cape Cod (perspective similaire) et Ground Swell (traitement similaire de la lumière).

Le tableau représente une station-service typique des routes américaines des années 50. On remarque la tenue de l’homme, en costume et cravate (comme cela se faisait souvent à l’époque) et l’absence de l’élément qui compléterait la scène : les voitures. Comme c’est habituel dans les œuvres de Hopper, par exemple : Route à quatre voies (sans voitures) ou Maison près de la voie ferrée (sans personnes ni train).

Hopper est le grand spécialiste moderne pour conférer intensité et complexité psychologique aux moments les plus ordinaires. Le spectateur s’immerge dans les scènes soigneusement composées, s’identifiant ou réfléchissant aux personnages, souvent représentés isolés.

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Montre le coucher de soleil à Cape Cod, Massachusetts, USA. L'artiste capte les tons verts et jaunes chauds que le soleil reflète sur le paysage de maisons et de végétation.

Il dépeint, dans son style bohème particulier, une scène sociale typique des années 1920 aux États-Unis.